Mon abîme personnel
Aspirée vers cet abîme
Où mes peines et mes malheurs m’acheminent
Je suis tout près du seuil
De se grand vide appeler le deuil
N’osant pas m’approcher
Je me sui sauver
Pour que jamais ne m’atteignent toutes ces horreurs
Qui s’acharnent sur mon cœur
J’en ai des tremblements
Juste en y pensant
Je refuse de revivre tout sa
De ressentir ces choses la en moi
J’avance les yeux bander
En ne pouvant qu’espérer
Que tout ira pour le mieux
Pour obtenir un avenir chanceux
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